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Journal désenchanté
18 mars 2006

Poésie.

Nin' m'envoie hier via MSN (miracle des nouvelles technologies...) ces vers de Rimbaud dont elle m'avait parlé car elle cherchait à se souvenir du nom de l'auteur :

On n'est pas sérieux, quand on a dix sept ans.
Un beau soir, foin des bocks et de la limonade,
Des cafés tapageurs aux lustres éclatants !
On va sous les tilleuls verts de la promenade

Moi aussi je cherchais hier, sans trop savoir pourquoi, à me rappeler une phrase que j'avais lue je ne sais plus où ; ça m'est revenu finalement tout d'un coup sans savoir pourquoi non plus, c'était dans "Le Guide du cinéma chez soi - 12 000 critiques pour mieux choisir vos films" (en fait une compilation de critiques extraites de Télérama), une phrase placée en exergue de Monsieur Arkadin, film d'Orson Welles. Je n'ai pas vu ce film mais la citation me plaît bien, la voici :

Une fois, un roi, riche et puissant, demanda au poète : "De tout ce que je possède, que puis-je te donner ?"  Celui-ci répondit avec sagesse : "N'importe quoi, sire, sauf votre secret."

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Commentaires
K
nan mais c'est vrai, on est bruyants nous autres hypokhagneux : on récite des poèmes, on rit à des jeux de mots parfaitement incompréhensibles, on se bagarre pour savoir si finalement Octavien il aurait pas du perdre plutot que Marc Antoine, et cette pétasse de Cléopatre, mais on s'en fout on préfère les guerres médiques !!!<br /> En gros. Tu vois l'bordel. Moi je compatis avec ta prof (haha)
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